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Travail forcé : les victimes rejettent le plan d'indemnisation via une fondation publique

National 13.03.2023 à 14h37
Yang Geum-deok (à g.) et Kim Seong-joo, victimes sud-coréennes du travail forcé pratiqué par le Japon en temps de guerre, donnent une conférence de presse à l'Assemblée nationale à Séoul, le mardi 7 mars 2023, pour dénoncer le plan proposé par le gouvernement en vue d'indemniser ces victimes à travers une fondation publique basée à Séoul, au lieu des paiements directs de la part des entreprises japonaises responsables.

Yang Geum-deok (à g.) et Kim Seong-joo, victimes sud-coréennes du travail forcé pratiqué par le Japon en temps de guerre, donnent une conférence de presse à l'Assemblée nationale à Séoul, le mardi 7 mars 2023, pour dénoncer le plan proposé par le gouvernement en vue d'indemniser ces victimes à travers une fondation publique basée à Séoul, au lieu des paiements directs de la part des entreprises japonaises responsables.

SEOUL, 13 mars (Yonhap) -- Trois victimes encore en vie du travail forcé pratiqué par le Japon en temps de guerre ont transmis leur position officielle de rejeter le plan d'indemnisation du gouvernement à travers une fondation publique en charge du processus controversé, ont fait savoir ce lundi leurs avocats. Yang Geum-deok, Kim Seong-joo et Lee Chun-sik ont déposé un document officiel sur leur position à la Fondation pour les victimes de la mobilisation forcée par le Japon impérial (FOMO).

Ils avaient remporté des procès contre des entreprises japonaises en vue d'obtenir une indemnisation pour avoir subi le travail forcé pendant la Deuxième Guerre mondiale lorsque la péninsule coréenne était sous le joug colonial japonais. En vertu du verdict prononcé par la Cour suprême en 2018, les sociétés japonaises Mitsubishi Heavy Industries et Nippon Steel devaient leur verser des dédommagements.

Le gouvernement Yoon Suk Yeol a toutefois annoncé un plan d'indemnisation par le biais d'une partie tierce pour les indemniser à travers des fonds donnés à la fondation basée à Séoul, FOMO.

lsr@yna.co.kr

(FIN)

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